Après avoir décroché un clap d’or pour le film « Chaudronnier, ma passion », les jeunes du collège Edmond Albius étaient à l’honneur. Une cérémonie de remise des récompenses a eu lieu, il y a quelques jours pour saluer ce prix décroché dans la catégorie « Je veux changer le monde, je choisis l’industrie » lors du concours « Je filme le métier qui me plaît».

 

Expérience unique et originale, ce concours permet aux élèves de développer leurs compétences numériques en participant activement à leur parcours d’orientation. Les collégiens en situation de décrochage scolaire étaient accompagnés par l’association AEC (Académie pour l’Égalité des Chances) et soutenus par la ville du Port dans le cadre du dispositif bourse de stage. Le film a été réalisé au port Ouest et sur le chantier Piriou pour mettre en lumière le métier de chaudronnier naval et la ville du Port.

Tutus, étoiles et paillettes… le préau de l’école se transforme en scène et dans une joyeuse ambiance, plus de 400 marmailles participent au spectacle de fin d’année. Nous sommes à l’école Eugène Dayot à la Rivière des Galets. Après avoir travaillé tout au long de l’année, les enfants donnent une unique représentation de « Casse-Noisette ».

Les scènes jouées par les CM2 sont entrecoupées de chants et de danses exécutés par les plus jeunes et très applaudis par les petits camarades et les quelques invités dont la première adjointe au maire, Annick Le Toullec et l’adjointe au maire déléguée à la vie éducative, Mémouna Patel. Ce spectacle met un point final festif à une année scolaire particulière en raison de la crise sanitaire.

À tous, de très bonnes vacances !

Ambassadeur de sa ville, l’artiste Jack Beng Thi joue les guides en ce samedi 3 juillet pour raconter une exposition inédite. « Somin nout zistwar dan regar la vi » est un parcours photographique qui permet à l’art de descendre dans les rues du Port. Parmi les visiteurs, le maire du Port et la première adjointe Annick Le Toullec. Olivier Hoarau rappelle que cette exposition regroupant 66 œuvres offre « la possibilité d’accéder à l’excellence artistique qui est finalement accessible à tout le monde ».

 

Les photos sont exposées sur 3 lieux et embarquent les visiteurs pour un voyage qui passe par l’Afrique du Sud, le Mozambique, Madagascar, Maurice, les Comores, Mayotte et La Réunion. Point de départ : le Grand marché où Jack Beng Thi expose des clichés réalisés à Mafate. Il raconte ainsi l’histoire de ses photos et commente celles des 15 autres artistes exposées au Grand Marché, dans les rues de la ville et au D2. Là, dans ce lieu désormais consacré à l’art toute une sélection de clichés en grands formats mais également des masques africains ou des coiffes réalisées avec les mamans des classes passerelles autour de leurs identités féminines viennent séduire, surprendre et émouvoir le public. Tout au milieu trône un roulèr géant de Jack Beng Thi et des élèves du lycée Jean Perrin qui renferme des figures du maloya.

 

Le parcours photographique sur les thèmes : le corps, le paysage, les scènes de vie, financé par la ville et la Cité éducative a aussi donné lieu à une mallette pédagogique. Près d’un millier de personnes dont 842 élèves ont visité l’exposition qui se poursuit jusqu’au 28 août.